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Habilité et référencé


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RESILIENCE-RH est habilité et référencé comme centre de bilan de compétences par la FAFSEA Nord-Est pour 2018.

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5.900 emplois et trois ans de plus


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Fort de près de 6.000 retours à l’emploi enregistrés depuis sa mise sur pied en 2015, le programme «Entreprises, partenaires pour l’emploi» signé entre l’Agence pour le développement de l’emploi (Adem) et l’Union des entreprises luxembourgeoises (UEL) va être prolongé pour trois années supplémentaires et complété par de nouveaux objectifs.
Le ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Économie sociale et solidaire – Nicolas Schmit –, la directrice de l’Adem – Isabelle Schlesser –, ainsi que l’administrateur délégué de l’UEL – Jean-Jacques Rommes –, ont dressé ce lundi un bilan du partenariat pour l’emploi signé en 2015 entre l’Adem et l’UEL.
Visant à rapprocher les demandeurs d’emploi des entreprises pour augmenter le nombre d’embauches, ce partenariat a été qualifié de «succès» puisqu’il a permis le retour à l’emploi de plus de 5.900 chômeurs alors que l’objectif initial était de 5.000.
Ce résultat a été rendu possible notamment grâce à une augmentation de 30% du nombre de postes vacants déclarés à l’Adem par les employeurs, ainsi qu’à des formations mises place par l’agence selon les besoins des entreprises. Et ce avec le concours de la Chambre de commerce et de la Chambre des métiers qui ont rendu gratuites certaines formations pour les demandeurs d’emploi et en ont développé de nouvelles.
9 entreprises sur 10 satisfaites.
Outil spécialement créé dans le cadre de ce partenariat, le JobBoard de l’Adem a lui aussi contribué au bon résultat qui vient d’être mis en avant, puisqu’utilisé aujourd’hui par quelque 1.500 entreprises qui peuvent consulter près de 20.000 profils en ligne.
Sur base de ces chiffres et d’un taux de satisfaction élevé de la part des entreprises vis-à-vis des services de l’Adem – 93% selon une enquête du Liser –, il a été décidé de renouveler et de densifier ce partenariat pour la période 2018-2020.
Identifier les pénuries.
Si l’objectif d’augmenter le nombre d’embauches reste inchangé, il s’agira aussi à l’avenir d’atténuer le déséquilibre entre les offres d’emploi et les profils des demandeurs – point soulevé par la Banque centrale du Luxembourg (BCL) dans un avis rendu vendredi – ainsi que de soutenir après les avoir identifiés les métiers éprouvant des difficultés à trouver de la main-d’œuvre, aussi bien dans le secteur privé que dans le secteur public.
Pour y parvenir, des groupes de travail devraient à l’avenir mettre sur pied de nouvelles formations en lien avec les besoins des entreprises, selon leur secteur d’activité. De nouveaux outils digitaux seront par ailleurs développés pour identifier les recrutements à venir et organiser des rencontres entre employeurs et demandeurs d’emploi au niveau régional et sectoriel. Enfin, pour améliorer la transparence sur le marché de l’emploi, l’Adem affirme vouloir aussi étudier la possibilité de collaborer avec des sites payants d’offres d’emploi.

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La formation professionnelle continue dans les entreprises.


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Le dernier bulletin de le STATEC présente les principaux résultats de la cinquième enquête sur la formation professionnelle continue dans les entreprises (enquête CVTS5), réalisée au Luxembourg en 2016.
Selon les données récoltées, 77% des entreprises ont offert des formations professionnelles continues (FPC) à leurs salariés dans le courant de l’année 2015, soit une augmentation nette vis-à-vis de 2010 (71%). Cette proportion varie, entre autres, selon la taille de l’entreprise. Alors que les entreprises de plus de 250 salariés offrent quasiment toutes des formations, seulement 2/3 des entreprises de 10 à 19 employés sont formatrices. Des variations existent également en fonction des secteurs d’activité. Dans le domaine de la construction, le pourcentage d’entreprises formatrices n’est que de 61% alors qu’il est près de 90% dans le domaine des services, mais aussi dans le secteur des ressources et de l’énergie.
En général, les entreprises formatrices ont tendance à proposer à leurs employés différentes sortes de formations. Les types de formation le plus souvent proposés sont les cours externes (62% des entreprises), les cours internes (53%), les conférences (55%) et les formations sur le tas (53%).
Ce sont surtout les cours de FPC qui touchent une part importante des salariés : en 2015, 62% des salariés ont participé à un cours de formation professionnelle continue. Ici encore, on trouve de grands écarts entre les secteurs d’activité (36% des salariés dans le domaine de la construction contre 76% dans le secteur des services financiers et autres services), ainsi qu’entre petites et grandes entreprises (31% des salariés dans les entreprises de 10 à 19 employés, contre 83% dans les entreprises de 1 000 personnes et plus). En 2015, chaque personne formée a suivie en moyenne 35 heures de cours de FPC. Par rapport aux chiffres récoltés en 2010, on observe que plus d’entreprises offrent des cours de FPC, à un pourcentage plus élevé de salariés, mais d’une durée moyenne légèrement plus courte. En moyenne, le pourcentage de femmes formées est légèrement plus élevé que celui des hommes.
Quant aux contenus des cours, on constate que 3/4 des entreprises privilégient des cours de FPC visant des compétences techniques, pratiques ou spécifiques à une tâche particulière. Parmi les prestataires externes, les entreprises choisissent en premier lieu des instituts de formation privés pour réaliser les cours de FPC, viennent ensuite les organisations patronales et les chambres professionnelles.
Le coût total des cours de formation professionnelle continue a été de plus de 320 millions d’euros, ce qui correspond à 2,1% de la masse salariale totale des entreprises visées par l’enquête. En moyenne, une heure de cours de FPC pour un salarié revient à 53€ pour l’entreprise. La plus grande part de ces coûts, soit 62%, provient des coûts liés à l’absence du personnel participant à ces cours. Les subventions publiques pour soutenir la FPC couvrent en moyenne 14% des frais mais profitent davantage aux grandes et moyennes entreprises.
L’organisation des cours dépend du profil de l’entreprise. Les grandes entreprises possèdent en règle générale un responsable des FPC, un budget spécifique ainsi qu’un plan de formation et procè- dent de manière régulière à une évaluation de leurs besoins en formation. Ceci n’est que beaucoup plus rarement le cas dans les petites entreprises. Parmi les grandes entreprises, le personnel est impliqué dans l’organisation de la FPC dans 4 cas sur 5.
2/3 des entreprises ayant proposé des FPC à leurs salariés durant le courant de l’année 2015 disent avoir pu s’offrir toutes les formations désirées sans avoir rencontré des obstacles. Pour les autres, les principaux obstacles ont été les coûts élevés et le manque de temps. Les entreprises non formatrices justifient leur choix en grande majorité par le fait que les connaissances et aptitudes des travailleurs correspondent aux besoins de l’entreprise.
À côté de la formation professionnelle continue, la formation professionnelle initiale reste importante. En moyenne, 24% des entreprises occupent des apprentis. Le commerce, l’horeca, l’industrie et la construction sont les principaux secteurs qui ont recours à l’apprentissage.

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RESILIENCE-RH est référencé comme organisme de formation sur la base de données Datadock.


Image pour illustrer RESILIENCE-RH est référencé comme organisme de formation sur la base de données Datadock.
La loi du 5 mars 2014 confie aux financeurs de la formation professionnelle la responsabilité du suivi et du contrôle de la qualité des organismes de formation avec lesquels ils travaillent. Objectifs : améliorer la transparence de l’offre de formation et favoriser une montée en charge progressive de la qualité des actions de formation.
Le décret n°2015-790 du 30 juin 2015 fixe les critères qui permettent aux financeurs de la formation professionnelle continue de s’assurer de la qualité des actions de formation.
Ce décret :
Établit le calendrier avec une mise en application au 1er janvier 2017
Précise que les financeurs mettent à disposition des organismes de formation, des entreprises et du public, selon des modalités qu'ils déterminent, des informations relatives aux outils, méthodologies et indicateurs permettant de faciliter l'appréciation de la qualité des formations dispensées
Fournit les six critères qui doivent être évalués :
L’identification précise des objectifs de la formation et son adaptation au public formé
L’adaptation des dispositifs d’accueil, de suivi pédagogique et d’évaluation aux publics de stagiaires
L’adéquation des moyens pédagogiques, techniques et d’encadrement à l’offre de formation
La qualification professionnelle et la formation continue des personnes chargées des formations
Les conditions d’information du public sur l’offre de formation, ses délais d’accès et les résultats obtenus
La prise en compte des appréciations rendues par les stagiaires
Demande aux organismes financeurs d’inscrire et de publier à partir du 1er janvier 2017 la liste des organismes de formation qui remplissent les critères évalués
Charge les organismes financeurs de veiller à l’adéquation financière des prestations de formation achetées et aux tarifs pratiqués pour des prestations analogues
Les critères visent à :
  • améliorer la lisibilité de l’offre de formation.
  • inciter les prestataires de formation à donner davantage d’informations utiles aux financeurs et aux bénéficiaires, notamment sur les résultats obtenus aux examens et d’accès à l’emploi.
  • accroître la capacité de l’offre de formation à s’adapter aux besoins du public à former.